Santé mentale :
Comprendre la crise et
agir intelligemment

L’épidémie silencieuse.

La santé mentale est aujourd’hui l’un des enjeux majeurs de santé publique. Entre solitude, anxiété, épuisement professionnel ou dépression, les troubles psychiques concernent près d’une personne sur cinq en France chaque année.

Ce que cela représente :

  • Environ 13 millions de Français souffrent d’un trouble mental chaque année.
  • Chez les jeunes (15–24 ans), la prévalence des symptômes dépressifs a bondi à 22 % en 2021, contre 10 % en 2019.
  • Près de 6 000 suicides ont été comptabilisés en 2021 — une tendance à la hausse.

Conséquences à l’échelle individuelle et collective

Pression sociale et isolement

  • Sentiment d’urgence permanente, exacerbée par les réseaux sociaux et la pression de la performance.
  • Isolement : les liens sociaux se distendent, surtout chez les seniors et les jeunes.
  • Le sentiment de solitude est perçu comme plus déstabilisant que l’obésité par 65 % des Français.

Impact de la pandémie

  • La crise sanitaire a provoqué une explosion de troubles anxieux et dépressifs, avec une augmentation de +28 %.
  • Chez les aidants familiaux, 31 % ont exprimé un haut niveau de détresse émotionnelle. Le sentiment de solitude est perçu comme plus déstabilisant que l’obésité par 65 % des Français.

Difficultés économiques et professionnelles

  • Chômage, inégalités croissantes, précarité : autant de facteurs déclencheurs de stress sévère.
  • Le burn-out touche désormais 9 % des salariés, sans parler des phénomènes de bore-out ou brown-out.

Les freins à la prise en charge : un parcours du combattant

Offre de soins inégale

  • Les zones rurales et périurbaines sont particulièrement mal dotées — près de 30 % du territoire.
  • L’attente pour un psychologue ou psychiatre peut atteindre 6 à 9 mois.

Barrière économique et remboursement

  • Si les consultations psychologiques nécessitent parfois un ticket modérateur élevé, certaines mutuelles interviennent toutefois encore trop rarement.
  • 60 % des patients potentiels évitent de consulter pour des raisons financières.

Stigmatisation et méconnaissance

  • 73 % des Français jugent les troubles mentaux « inconfortables » ou « inappropriés ».
  • Les patients craignent le jugement familial, professionnel, ou celui de leurs proches.

Organisation et temps

  • Le quotidien — travail, enfants, vie sociale — laisse peu de place pour attendre 4h dans une salle d’attente.
  • De nombreuses personnes abandonnent avant même d’avoir fixé un RDV.

Les racines du mal-être : un diagnostic multidimensionnel

Pour les individus

  • Retrait social, dépression sévère, comportements à risque, addictions (alcool, écrans).
  • 10 à 15 % des cas évoluent vers un grave épuisement ou un passage à l’acte, parfois irréversible.

Pour la société

  • Coût estimé à 240 milliards € par an en Europe pour les maladies mentales non traitées, selon l’OMS.
  • Arrêts de travail prolongés : +50 % dans les dernières années.
  • Risque de rupture sociale : communautés fragilisées, absentéisme scolaire, pénurie de soignants.

Vers des pistes d’action
efficaces.

Déstigmatisation et éducation

  • Campagnes nationales, animations en milieu scolaire et en entreprises.
  • Témoignages publics pour normaliser la parole — « Parler, c’est déjà guérir ».Près de 6 000 suicides ont été comptabilisés en 2021 — une tendance à la hausse.

Développer l’offre territoriale

  • Recrutement et formation accélérée de psychologues et psychanalystes
  • Incitations financières et statuts favorisant l’exercice en zones sous-dotées.

Financement et politiques de santé

  • Mutuelles soutenues pour rembourser les actes psychologiques.
  • Budgets Régionaux pour la Santé Mentale (PRSM) : déploiement de consultations gratuites, notamment en zones prioritaires.

Solutions numériques comme relais

  • Téléconsultations, plateformes numériques pour orientation, suivi et accès facilité aux professionnels.
  • Chatbots et outils d’auto-évaluation pour détecter les niveaux de détresse.

Témoignages & études de cas

Chez Docli, la satisfaction de nos patients est au cœur de nos priorités.
Chaque jour, vos témoignages authentiques nous encouragent à améliorer nos services et à garantir des téléconsultations toujours plus humaines, rapides et sécurisées.

« J’avais 4 mois d’attente chez un psy. Grâce au soutien à distance, j’ai pu commencer rapidement, reprendre pied, et me former à des techniques de gestion de stress. »

Elodie, 27 ans, Lyon

Membre de Docli depuis 2015.

La crise de la santé mentale est profonde et durable — rien ne sera changé sans engagement collectif. Aujourd’hui, agissons avec empathie, intelligence et volonté politique. La santé mentale mérite plus que des mots : elle exige des actes.

Santé mentale :
Comprendre la
crise et agir
intelligemment 🧠

L’épidémie silencieuse.

La santé mentale est aujourd’hui l’un des enjeux majeurs de santé publique. Entre solitude, anxiété, épuisement professionnel ou dépression, les troubles psychiques concernent près d’une personne sur cinq en France chaque année.

Ce que cela représente :

  • Environ 13 millions de Français souffrent d’un trouble mental chaque année.
  • Chez les jeunes (15–24 ans), la prévalence des symptômes dépressifs a bondi à 22 % en 2021, contre 10 % en 2019.
  • Près de 6 000 suicides ont été comptabilisés en 2021 — une tendance à la hausse.

Conséquences à l’échelle individuelle et collective

Pression sociale et isolement

  • Sentiment d’urgence permanente, exacerbée par les réseaux sociaux et la pression de la performance.
  • Isolement : les liens sociaux se distendent, surtout chez les seniors et les jeunes.
  • Le sentiment de solitude est perçu comme plus déstabilisant que l’obésité par 65 % des Français.

Impact de la pandémie

  • La crise sanitaire a provoqué une explosion de troubles anxieux et dépressifs, avec une augmentation de +28 %.
  • Chez les aidants familiaux, 31 % ont exprimé un haut niveau de détresse émotionnelleLe sentiment de solitude est perçu comme plus déstabilisant que l’obésité par 65 % des Français.

Difficultés économiques et professionnelles

  • Chômage, inégalités croissantes, précarité : autant de facteurs déclencheurs de stress sévère.
  • Le burn-out touche désormais 9 % des salariés, sans parler des phénomènes de bore-out ou brown-out.

Les freins à la prise en charge : un parcours du combattant

Offre de soins inégale

  • Les zones rurales et périurbaines sont particulièrement mal dotées — près de 30 % du territoire.
  • L’attente pour un psychologue ou psychiatre peut atteindre 6 à 9 mois.

Barrière économique et remboursement

  • Si les consultations psychologiques nécessitent parfois un ticket modérateur élevé, certaines mutuelles interviennent toutefois encore trop rarement.
  • 60 % des patients potentiels évitent de consulter pour des raisons financières.

Stigmatisation et méconnaissance

  • 73 % des Français jugent les troubles mentaux « inconfortables » ou « inappropriés ».
  • Les patients craignent le jugement familial, professionnel, ou celui de leurs proches.

Organisation et temps

  • Le quotidien — travail, enfants, vie sociale — laisse peu de place pour attendre 4h dans une salle d’attente.
  • De nombreuses personnes abandonnent avant même d’avoir fixé un RDV.

Les racines du mal-être : un diagnostic multidimensionnel

Pour les individus

  • Retrait social, dépression sévère, comportements à risque, addictions (alcool, écrans).
  • 10 à 15 % des cas évoluent vers un grave épuisement ou un passage à l’acte, parfois irréversible.

Pour la société

  • Coût estimé à 240 milliards € par an en Europe pour les maladies mentales non traitées, selon l’OMS.
  • Arrêts de travail prolongés : +50 % dans les dernières années.
  • Risque de rupture sociale : communautés fragilisées, absentéisme scolaire/pénurie de soignants.

Vers des pistes d’action
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Déstigmatisation et éducation

  • Campagnes nationales, animations en milieu scolaire et en entreprises.
  • Témoignages publics pour normaliser la parole — « Parler, c’est déjà guérir ».Près de 6 000 suicides ont été comptabilisés en 2021 — une tendance à la hausse.

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  • Recrutement et formation accélérée de psychologues et psychanalystes
  • Incitations financières et statuts favorisant l’exercice en zones sous-dotées.

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  • Mutuelles soutenues pour rembourser les actes psychologiques.
  • Budgets Régionaux pour la Santé Mentale (PRSM) : déploiement de consultations gratuites, notamment en zones prioritaires.

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